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Prog-résiste

Prog-résiste

Perso, quand j’ai fini de regarder le Seigneur des Anneaux (une tradition annuelle à ce stade), je suis obligé de lancer les annexes. Ça me donne un peu de temps pour m’extraire de la Terre du Milieu et c’est exactement pourquoi ce troisième article est nécessaire, du moins pour moi. On a parcouru l’évolution de l’oeuvre sur 50 ans, mais on n’a pas eu droit au « making of ». Comment un album de cette envergure est-il sorti de la cave d’un manoir ? D’un point de vue créatif, on n’invente jamais quelque chose de complètement neuf. Dès lors quelles sont les énergies cosmiques qui se sont mélangées dans l’esprit du jeune Mike pour produire Tubular Bells ? Quels étaient les influences, les instruments et les personnages présents lors de l’enregistrement ? Et quel est l’héritage musical qui en découle ? Allez, on s’accroche une dernière fois pour Tubular Bells —– The Appendices.

Une vie extraordinaire
Il nous a quittés en 2017, bien trop tôt, mais John Wetton est toujours présent dans nos coeurs et surtout nos oreilles. Un nouveau coffret couvrant sa carrière solo vient de sortir.
An Extraordinary Life, c’est un titre signé par John WETTON et Geoff Downes qu’on retrouve sur l’album de reformation d’Asia, Phoenix, sorti en 2008. Mais c’est aussi et surtout le titre d’une biographie signée par le journaliste anglais Nick Shilton tout comme le nom d’un superbe coffret couvrant la carrière solo du chanteur/bassiste récemment disponible. C’est l’occasion de vous rafraîchir la mémoire à propos de la carrière de ce musicien né en Angleterre et plus précisément à Derby en 1949.

Pour le commun des mortels, la Beauce, ce grenier de la France, c’est avant tout un magnifique écrin de nature hors du temps dont la monotonie est à peine rompue par quelques témoignages de l’histoire de l’Hexagone comme cette magnifique cathédrale de Chartres qui semble littéralement surgir du néant quand on approche de la ville. Pour les amateurs de musique progressive, c’est évidemment tout ça, mais aussi un excellent festival, bien connu pour la qualité de ses affiches et pour sa convivialité bon enfant, propice à la fête et aux rencontres (aussi bien avec d’autres mordus qu’avec les musiciens des différents groupes à l’affiche).

Nous nous étions quittés le trimestre passé sur l’inflexion de la courbe progressive du combo canadien signalée par un indigeste album pop-rock mainstream et la survenance d’un schisme aussi étonnant que brutal : l’éviction pure et simple de deux points majeurs de l’entreprise. Nous allons donc reprendre le fil de l’histoire, mais… Mais nous allons serpenter sur un long chemin de croix, durant lequel la nostalgie alternera avec des pics d’agacement.

Oui, Miles DAVIS est le plus grand jazzman de tous les temps. Oui, Miles n’a besoin que de son prénom pour être reconnu. Oui, il est né fils à papa riche. Oui, il a aussi erré dans les rues de New York comme un junkie pour quelques dollars et une dose. Oui, il a appris à contrôler ses addictions, mais oui, il a aussi failli de temps en temps à cette tâche. Oui, des femmes l’ont aimé follement. Oui, il les a aimées aussi, mais aussi, oui, il en a maltraité.

Dans le précédent numéro, je vous avais parlé d’un groupe de rock qui faisait du jazz : Chicago. En voici un autre, un peu dans la même veine, même s’il y a des différences, à tel point que je parlerais plutôt d’un groupe de jazz qui fait du rock : Blood, Sweat and Tears. Remarque numéro 1 : pas besoin d’être amateur de jazz pour l’apprécier. Remarque numéro 2 : pas moins de 175 musiciens ayant fait partie des itérations successives du line-up, vous comprendrez que je ne m’attarde que sur les plus significatifs ; et comme vous le constaterez, on y trouve de très grands noms.

Ayant reçu des retours enthousiastes à la suite de l’article consacré à High Wheel, j’ai décidé d’aller à nouveau fourrager dans l’arrière-boutique du rock progressif renaissant. Me voilà donc du côté de ‘87, année de création officielle d’un groupe italien qui va ornementer l’histoire du RPI en particulier et du prog en général de bien belle manière. Malgré sa confidentialité, certaine à ses débuts, relative par la suite, il laisse une trace discographique de grande classe, indélébile.

Le temps est venu d’évoquer l’histoire d’un des groupes les plus atypiques de l’histoire du rock en général et du rock progressif en particulier. Son éclosion en pleine période chaotique post-punk et en parallèle de la montée en puissance de la new-wave est inattendue en Europe, grand terrain de chasse des dinosaures (les States ont été moins sauvages en la matière). Car, réussir à s’imposer dans un tel contexte musical avec une signature sonore unique et un style improbable en matière d’inspiration tient du miracle. C’est ce qu’a réussi Saga, un groupe canadien que personne n’avait vu venir. Et c’est incrédules que les détracteurs du rock progressif et des dinosaures ‘70 durent constater l’indéniable réussite d’un combo qui fi t même plier les charts américains tout en se créant une fan base indéfectible en Allemagne et chez les voisins proches.

Résumé des chapitres précédents : Le duo initial est maintenant tricéphale, avec l’arrivée de David Longdon aux côtés de Gregory Spawton et Andy Poole. Avec aussi des invités permanents prestigieux comme Dave Gregory et Nick D’Virgilio, ils ont sorti en 2009 et 2010 un album et son EP conjoint tellement prometteurs que la suite est attendue fébrilement.

'Allo ! Maman, Bobo ?'
Ce sous-titre régulièrement présent dans les interviews que nous vous délivrons disparaîtra progressivement de notre magazine. Car nous avons appris le décès inopiné de notre collaborateur John 'BoBo' Bollenberg. Nous sommes profondément attristés, car John avait toujours le chic de proposer des interviews aussi intéressantes et fouillées qu'inattendues et c'était un bon camarade. John, tu vas nous manquer pour plein de raisons.
RIP, my friend !

'Allo ! Maman, Bobo ?'
Ce sous-titre régulièrement présent dans les interviews que nous vous délivrons disparaîtra progressivement de notre magazine. Car nous avons appris le décès inopiné de notre collaborateur John 'BoBo' Bollenberg. Nous sommes profondément attristés, car John avait toujours le chic de proposer des interviews aussi intéressantes et fouillées qu'inattendues et c'était un bon camarade. John, tu vas nous manquer pour plein de raisons.
RIP, my friend !

Cette interview devait se faire le jour du concert des FLOWER KINGS à Verviers, sauf que… le groupe n’avait pas été prévenu. C’est finalement un mois plus tard que, via Skype, nous y sommes parvenus, et nous avons gagné au change : lui qui semble introverti, s’est montré ouvert, disponible et jovial. Nous avons même eu droit à ses excuses, même s’il n’y était pourrien. Merci pour ce bon moment, Roine!

Cette interview devait se faire le jour du concert des FLOWER KINGS à Verviers, sauf que… le groupe n’avait pas été prévenu. C’est finalement un mois plus tard que, via Skype, nous y sommes parvenus, et nous avons gagné au change : lui qui semble introverti, s’est montré ouvert, disponible et jovial. Nous avons même eu droit à ses excuses, même s’il n’y était pourrien. Merci pour ce bon moment, Roine!

Albums découverte/événement

richard WRIGHT
Wet Dream
Parlophone – 45’22 – GBR’78/’23
progressif éclectique
Line-up
Richard Wright : chant, piano, piano électrique, Hammond, synthétiseur Oberheim, production
avec:
Snowy White : guitares
Mel Collins : saxophone, flûte
Larry Steele : basse
Reg Isadore : batterie percussions

steven WILSON
The Harmony Codex
Virgin Music – 64’02 + 77’02 – GBR’23
progressif éclectique
MN9-OD8-AW9-LE8-PB9-TI9-TE7-FS7-HD7-FM8
Line-up
Steven Wilson : chant, guitares, claviers, sampler, basse, percussions, programmation
avec
Adam Holzman : Rhodes (1,4,7), piano (9), boucles DFAM (10), synthé modulaire (1,3,6), Moog (10), orgue Wurlitzer (5), Ben Coleman : violon (4), Craig Blundell : batterie (2,5,6,10), hi-hat (9), percussions (6,9), David Kollar : guitare lead (1,9), guitare ambient (4), David Kosten : programmation (1,10), Guy Pratt : basse (2), Jack Dangers : beats électriques (6), programmation (9), Jason Cooper : batterie tom (6), Lee Harris : guitare psychédélique (4), Nate Wood : batterie (4), Nick Beggs : Chapman Stick (6,10), Niko Tsonev : guitares (1,4,10), guitare lead (5,8,10), Nate Navarro : basse fretless (1), basse (9), Nils Petter Molvær : trompette (1), Ninet Tayeb : chant (5), guitares (5), choeurs (1,2), Pat Mastelotto : batterie & percussions (1), Rotem Wilson : voix (7,10), Samuel Fogarino : batterie (10), Theo Travis : flûte (1), saxophone (4), duduk (6)

roger WATERS
The Dark Side of the Moon Redux
SGB – 47’48 – GBR‘23
progressif
MN3-OD3-AW6-PB3-TI8-TE8
Line-up
Roger Waters : chant, basse sur Any Colour You Like, VSC3
Gus Seyffert : basse, guitares, percussions, claviers, synthétiseurs, choeurs
Joey Waronker : batterie & percussions
Jonathan Wilson : guitarss, synthétiseurs, orgue
Johnny Shepherd : orgue, piano
Via Mardot : theremin
Azniv Korkejian : chant
Gabe Noel : arrangements des cordes, strings, sārangī
Jon Carin : claviers, lap steel, synthétiseurs, orgue
Robert Walter : piano sur The Great Gig in the Sky

BALLETTO DI BRONZO
Lemures
Black Widow – 58’12 – ITA’23
progressif heavy
MN7-AQ8-OD8-AW7-TI8-FS6-FM7
Line-up
Gianni Leone : chant, claviers
Ivano Salvatori : basse
Riccardo Spilli : batterie

trevor RABIN
Rio
InsideOut Music – 55’01 - ZAF’23
classic rock
MN8-OD7-PB8-CB7-TI8-HD7
Line-up
Trevor Rabin : tous les instruments
Lou Molino : batterie
Liz Constantine : choeurs
Dante Marchi : choeurs

Les albums suivants sont jubilaires !

Il y a 35 ans environ après avoir suivi les recommandations d’un hors-série de Libération qui s’appelait « 1968-1988 l’album de nos vingt ans » et qui regroupait leur sélection des 100 meilleurs albums des 20 ans passés, à l’époque. Rock Bottom en faisait partie. Logique, c’est l’un des albums les plus cités dans tous les tops et autres best of ou sélections en tout genre. Celle-ci en était une, une bonne puisqu’elle plaçait Abbey Road en tête. Je me souviens avoir mis le CD dans le lecteur Philips, avoir appuyé sur Play et après l’avoir écouté, réappuyé sur Play sans savoir ni ce qui m’était arrivé, ni si j’aimais, ni si je n’aimais pas.

Qu’est-ce qu’il se serait passé si, en ‘69, Roger Hodgson avait poursuivi son parcours musical avec Reginal Dwight (plus connu sous son pseudo, Elton John) et si la brève collaboration de Rick Davies avec Noel Redding (bassiste du Jimi Hendrix Experience) avait débouché sur un groupe viable ? Ou encore que serait-il advenu si à la suite du peu de considérations reçues par les deux premiers albums (et pourtant ils pouvaient être fiers de l’excellentissime album éponyme [‘70], peut-être moins d’Indelibly Stamped [’71] et de son horrible pochette), le duo, désenchanté, avait remballé sa marchandise ? Hein ?

En 1973, RENAISSANCE a enfin trouvé la stabilité en gardant pour une fois les mêmes musiciens que l’année précédente. Le groupe va ainsi poursuivre dans la direction prise avec Ashes are Burning. Si les ingrédients de base de leur musique, le rock et le classique, sont restés les mêmes, ils sont à présent complètement fondus l’un dans l’autre, ce qui rend le groupe unique à ce moment.

À ce point de l’histoire, l’été ‘73, KING CRIMSON rentre en Angleterre complètement essoré, vidé par deux tournées successives et orphelin de Jamie Muir, ce dernier ayant disparu pour de sombres raisons. Si une coupure de 3 semaines et demie est au programme, Fripp ne s’octroiera que 3 jours de repos.

À ce point de l’histoire, l’été ‘73, KING CRIMSON rentre en Angleterre complètement essoré, vidé par deux tournées successives et orphelin de Jamie Muir, ce dernier ayant disparu pour de sombres raisons. Si une coupure de 3 semaines et demie est au programme, Fripp ne s’octroiera que 3 jours de repos.

Les polls 2023 des rédacteurs sont basés sur les 4 numéros parus en 2023 (111-112-113-114) et sont présentés dans l’ordre décroissant d’ancienneté des rédacteurs de Prog-résiste. Le poll de la Rédaction, qui compile tous ces polls est présenté ci-après.
Le poll de la rédaction montre encore beaucoup de styles et de sous-styles du progressif au sens large, ainsi que des valeurs sûres et des nouveautés. Cela démontre bien, s’il le fallait encore, la variété et la richesse du rock progressif. Est-ce que le poll des lecteurs sera tout aussi varié ? À vous de nous le montrer en envoyant le vôtre par mail.

lisa BELLA DONNA : Electronic Voyages
BEYOND BERLIN : World gone Mad
ian BODDY : Triple Cross – Chance Delay
michael BRÜCKNER : The Morphic Cycle
JicePOLYPORES : Multizonal Mindscramble
the ROSEN CORPORATION : Hidden Structure

Une rubrique de Luc Evrard et Thomas Evans

Retrouvez les chroniques d'une bonne soixantaine d'albums d'actualité.

On vous dit ce qu'on pense de la ressortie de certains albums.

Ce classement subjectif ne prend en compte que les CDs ayant récolté 4 cotations au minimum.

Quelques chroniques de concerts où nous étions:
- the Flower Kings, Le 23 octobre 2023, Spirit of 66, Verviers
- King Buffalo + Slomosa, Le 26 octobre 2023, Effenaar, Eindhoven
- 10cc, Le 2 novembre 2023, Ancienne Belgique, Bruxelles
- Atomic Rooster, le 29 novembre 2023, Spirit of 66, Verviers

björk - Artiste visionnaire qui mélange sans effort des éléments avant-gardistes et pop, BJÖRK a rapidement éclipsé la relative popularité de son ancien groupe les Sugarcubes lorsqu’elle a lancé sa carrière solo. Dotée d’une voix envoûtante capable de passer des intonations enfantines aux expressions plus menaçantes, elle s’est immergée dans la danse et la culture des clubs, en travaillant avec plusieurs des plus grands noms du genre, faisant d’elle l’une des stars les plus improbables des années 90. Dans les décennies qui ont suivi, elle est restée à la pointe de l’innovation musicale avec des albums basés sur la voix et les thèmes scientifiques et écologiques, ce qui fait d’elle l’une des artistes les plus éclectiques de la musique contemporaine.

'Allo ! Maman, Bobo ?'
Ce sous-titre régulièrement présent dans les interviews que nous vous délivrons disparaîtra progressivement de notre magazine. Car nous avons appris le décès inopiné de notre collaborateur John 'BoBo' Bollenberg. Nous sommes profondément attristés, car John avait toujours le chic de proposer des interviews aussi intéressantes et fouillées qu'inattendues et c'était un bon camarade. John, tu vas nous manquer pour plein de raisons.
RIP, my friend !

'Allo ! Maman, Bobo ?'
Ce sous-titre régulièrement présent dans les interviews que nous vous délivrons disparaîtra progressivement de notre magazine. Car nous avons appris le décès inopiné de notre collaborateur John 'BoBo' Bollenberg. Nous sommes profondément attristés, car John avait toujours le chic de proposer des interviews aussi intéressantes et fouillées qu'inattendues et c'était un bon camarade. John, tu vas nous manquer pour plein de raisons.
RIP, my friend !

Cette interview devait se faire le jour du concert des FLOWER KINGS à Verviers, sauf que… le groupe n’avait pas été prévenu. C’est finalement un mois plus tard que, via Skype, nous y sommes parvenus, et nous avons gagné au change : lui qui semble introverti, s’est montré ouvert, disponible et jovial. Nous avons même eu droit à ses excuses, même s’il n’y était pourrien. Merci pour ce bon moment, Roine!

Cette interview devait se faire le jour du concert des FLOWER KINGS à Verviers, sauf que… le groupe n’avait pas été prévenu. C’est finalement un mois plus tard que, via Skype, nous y sommes parvenus, et nous avons gagné au change : lui qui semble introverti, s’est montré ouvert, disponible et jovial. Nous avons même eu droit à ses excuses, même s’il n’y était pourrien. Merci pour ce bon moment, Roine!

DRIFTING IN SILENCE: Timeless
lyonel BAUCHET: Tractatus Lyra-Organismus
FRED AGAIN.. & brian ENO: Secret Life
mark r. HEALY: The Strata
steve MOORE
rémi ORTS PROJECT: Respire
andy PICKFORD: Departure
the ROSEN CORPORATION: Nostalgia
RYVAGE: Les Nuits I
SEQUENTIA LEGENDA: Alcyone
vasileios/billy YFANTIS: Cinematic Works Vol II
gert EMMENS & ruud HEIJ: On Higher Ground

Une rubrique de Luc Evrard et Thomas Evans

Retrouvez les chroniques d'une bonne soixantaine d'albums d'actualité.

On vous dit ce qu'on pense de la ressortie de certains albums.

Ce classement subjectif ne prend en compte que les CDs ayant récolté 4 cotations au minimum.

Quelques chroniques de concerts où nous étions:
- La Villa Strangiato, Le 21 septembre 2023, Spirit of 66, Verviers

ORCHESTRAL MANOEUVRES IN THE DARK a été l’une des premières formations à connaître un franc succès dans l’art de composer des refrains entraînants sur une base électronique dansante, marquant ainsi l’avènement de la pop synthétique qui aura marqué toutes les années 80. Echos de la new wave, leurs premières pistes préservent l’expressionnisme de la «génération vierge» issue de Joy Division et de l’électronique élaborée de Kraftwerk pour s’orienter au fi l du temps vers une pop plus futuriste infl uencée principalement par Roxy Music et Ultravox. OMD mérite tout notre respect pour sa contribution sans égale à la musique pop sophistiquée en général.

Albums découverte/événement

AVKRVST
The Approbation
InsideOut Music – 48’47 – NOR’23
progressif heavy
MN8-AQ7-OD7-AW7-TI8
Line-up
Simon Bergseth : basse, guitares, chant
Martin Utby : batterie, synthétiseurs
Oystein Aadland : basse, claviers
Edvard Seim : guitares
Auver Gaaren : claviers

THE FLOWER KINGS
Look at You Now
Inside Out – 60’07 - SWE’21
rock progressif
MN7-AQ7-OD7-AW7-LE6-CB7-TE7-FM7
Line-up
Roine Stolt : chant, guitares, claviers, percussions
Hasse Fröberg : chant
Michael Stolt : basse, chant, claviers sur Mother Earth et
Father Sky, guitares sur The Dream
Mirko Demaio : batterie, percussions, claviers sur Day
for Peace
Invités :
Hasse Bruniusson : percussions sur Hollow Man
Lalle Larsson : synthés sur Dr. Ribedeaux et Scars
Jannica Lund : choeurs
Marjana Semkina : chant sur Day for Peace
Jörgen Sälde: guitare classique sur The Queen

SEVEN IMPALE
SUMMIT
Karisma Records – 43’57 – NOR’23
progressif éclectique
AQ7-OD5-CB7-TI7-TC7-FM7
Line-up
Tormod Fosso : basse
Benjamin Mekki Widerøe : saxophone
Frederik Mekki Widerøe : batterie, chant, guitare
Stian Økland : guitare
Håkon Vinje : chant, claviers
Erland Vottvik Olsen : guitare

lars fredrik FRØISLIE
Fire Fortellinger
Karisma Records – 46’58 – NOR‘23
rock progressif
MN8-AQ8-OD8-AW9-RR7-FM7
Line-up
Lars Fredrik Frøislie : claviers, batterie, chant et fl ûte
Nikolai Haengsle : basse

Les albums suivants sont jubilaires !

Au début 1973, ANGE a déjà un beau background derrière lui : Après trois 45 tours, le premier album Caricatures sorti en 1972 a jeté les bases du style Ange, soit un progressif symphonique à tendance théâtrale et crimsonienne avec un chant en français et un univers moyenâgeux comme contexte poétique à l’instar de l’excellent Dignité.

Si l’Italie est connue pour sa pléthorique production d’albums one-shot d’une grande richesse musicale, égalant souvent en qualité les grands classiques du progressif transalpin, nombre de ces disques dépassent tout de même rarement le statut d’albums cultes parmi les plus fervent.e.s amateur.ice.s de RPI.

Les polls 2023 des rédacteurs sont basés sur les 4 numéros parus en 2023 (111-112-113-114) et sont présentés dans l’ordre décroissant d’ancienneté des rédacteurs de Prog-résiste. Le poll de la Rédaction, qui compile tous ces polls est présenté ci-après.
Le poll de la rédaction montre encore beaucoup de styles et de sous-styles du progressif au sens large, ainsi que des valeurs sûres et des nouveautés. Cela démontre bien, s’il le fallait encore, la variété et la richesse du rock progressif. Est-ce que le poll des lecteurs sera tout aussi varié ? À vous de nous le montrer en envoyant le vôtre par mail (voir ci-dessus).

Prog-résiste est une "Association Sans But Lucratif" belge ayant pour objet la promotion du Rock Progressif en Belgique, dans les autres pays francophones et si possible partout dans le monde.
Pour ce faire, nous éditons un magazine trimestriel de 132 pages, imprimé professionnellement en offset, et qui inclut entre autres les rubriques suivantes :

Critiques d'albums (cotations incluses)
Articles de fond, historiques, interviews, analyses musicales...
Les indispensables du trimestre, avec extraits MP3 en ligne sur ce site
News, rumeurs, événements... bref tout ce qu'il faut savoir de l'actualité

cover PR 115

vinyle PR 115

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Chaque trimestre, une playlist Spotify actualisée et largement garnie des innombrables découvertes issues du dernier numéro.

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